Ils ont bravé le Covid...
En Drôme-Ardèche

Ils ont bravé le Covid...
En Drôme-Ardèche

« C’était une période très triste »
« On faisait notre boulot. Même si j’étais la première à applaudir les soignants à la fenêtre !»
►►►► Découvrez le récit de Lucile de Harola, chauffeuse de taxi et ambulancière, à Pierrelatte
« Des patients nous ont prêté des blouses »
« Nous n’avons pas eu de prime ou de geste alors qu’on sait nous trouver quand ça ne va pas... »
►►►► Découvrez le récit de Karine Accassat, infirmière libérale sur le plateau ardéchois
« On nous avait fourni des douches de camping dans les véhicules »
« On me donnait gentiment des bonbons, on me faisait des dessins, c’était sympa ! Mais il fallait faire très attention... »
« Un tsunami, un saut dans l’inconnu »
« J’ai vécu les premiers temps avec angoisse, parce qu’on était en première ligne. On n’avait pas de masques ou très peu, alors qu’on était censé les changer trois fois par jour... »
►►►► Découvrez le témoignage de Laurence Zeroukian, pharmacienne à Valence
« Les gens étaient contents de retrouver un peu de culture »
Cette culture qu'on « n’avait pas considérée comme essentielle au départ en interdisant l’ouverture de la librairie et les événements... »
►►►► Découvrez le récit de Camille Glaizal, libraire à Annonay
« Nous étions l’un des rares contacts humains de la journée »
« Les gens venaient acheter leur tabac, bien sûr, mais aussi chercher leurs journaux… Et surtout, ils avaient besoin de parler...»
►►►► Découvrez le récit de Michel Mellia, alors gérant d'un bureau de tabac à Montélimar
« La reconnaissance, je savais que ça n’allait pas durer »
« Ça n’a rien changé, aujourd’hui c’est comme avant le Covid. On est vite redevenu des moins que rien... »
►►►► Découvrez le témoignage de Philippe Henon, éboueur dans la Drôme
« Les clients étaient tellement heureux de nous voir ouverts ! »
«On ne faisait qu’un quart du chiffre que l’on fait habituellement. Mais on était plus stressés par le virus... »
►►►► Découvrez le témoignage de Céline Guilloud, boulangère à Montélimar
« Les soins aux morts étaient interdits »
« Les choses ne sont jamais revenues à la normale... »
►►►► Découvrez le témoignage de Éric St Clair, thanatopracteur basé à Aubenas
« Les clients venaient juste pour discuter »
« J’avais des clients qui venaient acheter une simple tranche de jambon tous les jours ! »
« Nous devions trier les patients »
« Je trouve que les gens n’ont rien appris concernant le vaccin et utilisent très mal le masque, c’est dommage...»
